Organes: Pancréas - Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie
Bayer MAJ Il y a 4 ans

Étude ARCS-Multi : étude de phase 1b évaluant l’efficacité et la sécurité de l’anétumab ravtansine associé au cisplatine chez des patients ayant un cholangiocarcinome, associé à la gemcitabine chez des patients ayant un adénocarcinome du pancréas ou en monothérapie chez des patients ayant d’autres tumeurs solides, exprimant la mésothéline, métastatiques ou non métastatiques à un stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein, et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules des tissus conjonctifs, comme par exemple le cancer des os. L’anétumab ravtansine est un anticorps combiné à la mésothéline capable de diminuer la division et la croissance cellulaire des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité de l’anétumab ravtansine chez des patients ayant des tumeurs solides exprimant la mésothéline métastatique ou non métastatique à un stade avancé. Les patients seront répartis en 3 groupes selon leur pathologie. Les patients du premier groupe ayant un cholangiocarcinome recevront du cisplatine associé à l’anétumab ravtansine une fois par semaine pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures pour le cisplatine et jusqu’à la progression ou intolérance au traitement pour l’anétumab ravtansine. Les patients du deuxième groupe ayant un adénocarcinome pancréatique recevront de la gemcitabine associé à l’anétumab ravtansine une fois par semaine pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures pour la gemcitabine et jusqu’à la progression ou intolérance au traitement pour l’anétumab ravtansine. Les patients du troisième groupe ayant d’autres tumeurs solides recevront de l’anétumab ravtansine toutes les 3 semaines en continu en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 26 mois.

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Etude MEDIPLEX : étude de phase 1 réalisée en 2 parties, évaluant la tolérance et l’activité anti tumorale d’une combinaison thérapeutique associant le durvalumab (anti-PDL1) et le pexidartinib (anti-récepteur CSF1R) chez des patients ayant un cancer colorectal ou du pancréas à un stade avancé ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Les cancers colorectaux et les cancers du pancréas sont les cancers gastro-intestinaux les plus communs. Il existe plusieurs stades de cancers en fonction de la taille de la tumeur, de son envahissement et de sa propagation. Les cellules cancéreuses sont initialement localisées mais peuvent se propager à d’autres parties du corps formant des métastases. La prise en charge de ces cancers s’est améliorée ces dernières années mais reste limitée. L’immunothérapie, basée sur l’utilisation de médicaments, comme le durvalumab ayant obtenu son autorisation de mise sur le marché (AMM), qui stimulent le système immunitaire dans le but de défendre l’organisme contre les maladies, jouerait un rôle important dans le cancer. Une étude clinique a montré que le pexidartinib aurait une efficacité dans le traitement du cancer en ciblant un récepteur spécifique. L’objectif de cette étude est, dans un premier temps de déterminer la dose adéquate à utiliser du pexidartinib, puis dans un deuxième temps d’évaluer l’activité clinique de l’association du durvalumab et du pexidartinib chez des patients ayant un cancer colorectal ou un cancer du pancréas à un stade avancé ou métastatique. Une biopsie de la tumeur sera réalisée dans les 2 semaines précédant l’administration du traitement si aucune archive n’est disponible. Cette étude sera réalisée en 2 phases : - Lors de la 1ère phase, les patients recevront du durvalumab en perfusion intraveineuse (IV) en 1h 1 fois par cure de 4 semaines et du pexidartinib par voie orale (PO) 2 fois par jour, tous les jours. - Lors de la 2ème phase, les patients seront répartis au sein de 2 groupes : les patients ayant un cancer du pancréas et ceux ayant un cancer colorectal. Les patients recevront du durvalumab en perfusion IV en 1h 1 fois par cure de 4 semaines et du pexidartinib PO à la dose recommandée pour la phase 2 déterminée lors de la 1ère phase, 2 fois par jour, tous les jours. Dans les 2 phases, le traitement sera répété tant que le bénéfice clinique sera jugé favorable ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance. La pression artérielle et le pouls seront vérifiés le 1er jour de chaque cure en pré dose des 2 traitements puis 30 min après le début de l’injection, à la fin de l’injection et 1h après la fin de l’injection et régulièrement en pré dose du pexidartinib lors des 2 premières cures. Un bilan sanguin sera effectué dans les 3 jours précédant le traitement puis 1 fois par semaine lors des 2 premières cures et le 1er jour de cure à partir de la 3ème en pré dose du pexidartinib. Un électrocardiogramme sera réalisé dans les 2 semaines précédant le traitement, et de façon régulière avant et après l’administration du pexidartinib lors des 2 premières cures et le 1er jour de la 3ème et 5ème cure de traitement. Une évaluation tumorale sera effectuée dans le mois précédant le traitement, toutes les 8 semaines pendant les 16 premières semaines de traitement puis toutes les 12 semaines. Les patients seront suivis 3 mois après la fin du traitement ou au moment de l’initiation d’un nouveau traitement anticancéreux. Un suivi au long terme sera effectué.

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MedImmune LLC MAJ Il y a 4 ans

Étude D8540C00002 : étude de phase1-1b évaluant la sécurité, la pharmacocinétique et l’efficacité de MEDI7247 chez des patients ayant certaines tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides sont les plus fréquents puisqu’ils représentent 90% des cancers humains. Elles peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. On distingue 2 types de tumeurs, les carcinomes issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes comme le cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, issus de cellules des tissus conjonctifs (cancer de l’os). Le traitement des tumeurs solides dépend des caractéristiques de la tumeur notamment, de sa localisation, de son type histologique, de son stade et de la présence ou non de métastases. Le MEDI7247 est un anticorps monoclonal anti-ASCT2 associé à un médicament hautement cytotoxique. L’ASCT2 est surexprimé dans de nombreuses tumeurs solides. C’est un transporteur d’acides aminés nécessaires à la croissance et à la prolifération des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité, la pharmacocinétique et l’efficacité de MEDI7247 chez des patients ayant certaines tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de l’étape 1, les patients recevront du MEDI7247 toutes les 3 semaines. La dose de MEDI7247 sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à utiliser lors de l’étape 2. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de l’étape 2 les patients seront répartis en 6 groupes selon leur type de cancer. Tous les patients recevront du MEDI7247 toutes les 3 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de l’étape 1. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus à régulièrement pendant les 2 premières cures, puis 1 fois toutes les 3 semaines. L’évaluation de la maladie sera réalisée toutes les 6 semaines la 1re année, puis toutes les 12 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 2 ans.

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Étude CATRIPCA : étude de phase 1 évaluant l’efficacité pembrolizumab associé à du debio-1143 chez des patients ayant un cancer du pancréas ou colorectal de stade avancé ou métastatique, ne présentant pas une instabilité des microsatellites élevée. Les cancers colorectaux et les cancers du pancréas exocrine sont les cancers gastro-intestinaux les plus communs des pays occidentaux. Le pancréas est un organe du système digestif situé derrière l'estomac. Le pancréas aide à la digestion et joue un rôle majeur dans la régulation du taux de glucose dans le sang. La plupart des tumeurs se situent sur la tête du pancréas, partie de l'organe proche de l'intestin. L’intestin est constitué de l’intestin grêle et du gros intestin dont font partie le côlon et le rectum. Le cancer colorectal est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules du côlon ou du rectum. Il évolue très lentement. L’instabilité des microsatellites survient lorsque les gènes qui corrigent l’ADN lors de la division cellulaire, appelés gènes de réparation ne fonctionnent pas correctement. Lorsque la chirurgie n'est pas possible le traitement par chimiothérapie avec ou sans traitement ciblé est le traitement de référence. Le debio-1143 possède des propriétés immunomodulatrices, c’est-à-dire qu’il modifie le déroulement des réactions du système de défense de l’organisme. Il est souvent associé avec des inhibiteurs du point de contrôle immunitaire comme le pembrolizumab. Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal qui bloque le récepteur PD-1 et provoque l'activation des réponses du système de défense de l’organisme (système immunitaire) contre les cellules tumorales. Il est utilisé dans le traitement des patients ayant des cancers colorectaux en instabilité microsatellite ou non résécables et/ou métastatiques. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité pembrolizumab associé à du debio-1143 chez des patients ayant un cancer du pancréas ou colorectal de stade avancé ou métastatique, ne présentant pas une instabilité des microsatellites élevée. L’étude comprendra 2 étapes. Durant la 1re étape, les patients recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines associé à du debio-1143 deux premières semaines d’une cure de 3 semaines. La dose du debio-1143 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée lors de la 2e étape. Le traitement sera jusqu’à 3 cures en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Durant la 2 e étape les patients recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines associé à du debio-1143 les deux premières semaines d’une cure de 3 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1re étape. Le traitement sera en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 24 mois après le début de l’étude.

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Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Étude CA017-003 : étude de phase 1-2a randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986205 associé au nivolumab et au nivolumab et à l’ipilimumab chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le BMS-986205 est un inhibiteur d’IDO1, un immunosuppresseur présent dans de nombreux types de tumeurs. Le BMS-986205 a montré dans les études précédentes une capacité à restaurer et favoriser la prolifération et l’activation des cellules immunitaires et par conséquent une stimulation de la réponse immunitaire contre les cellules tumorales. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1, susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986205 associé au nivolumab et au nivolumab et à l’ipilimumab chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. L’étude comprendra 4 parties. La France participera uniquement aux parties 2 et 3 de l’étude. Dans la partie 1, les patients recevront du BMS-986205, administré seul, en continu pendant 2 semaines selon un schéma d’escalade de dose, puis associé au nivolumab. La dose du BMS-986205 est progressivement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer. Dans la partie 2, les patients recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab toutes les 2 semaines ou toutes les 4 semaines, selon la cohorte dans laquelle le patient sera inclus. Dans la partie 3 : - Les patients ayant un mélanome recevront du BMS-986205 continu associé au nivolumab toutes les 4 semaines et à l’ipilimumab toutes les 8 semaines. - Les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab toutes les 3 semaines et à l’ipilimumab toutes les 6 semaines. - Les patients ayant un cancer de la vessie recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab et à l’ipilimumab, toutes les 3 semaines pendant 4 cures, puis ils recevront du nivolumab toutes les 4 semaines. Les traitements seront administrés pendant une période de 48 semaines. Dans la partie 4, les patients recevront une dose unique de BMS-986205. Les patients inclus dans la partie 3 seront suivis pendant 14 semaines après la fin du traitement de l’étude avec des visites à 30, 60 et 100 jours. Les patients seront suivis sur le long terme pendant 2 ans après le début du traitement de l’étude ou pendant 12 mois minimum après la fin du traitement de l’étude. Pour les patients ayant une réponse à la fin du traitement, cette phase de suivi à long terme comprendra également un suivi de la réponse, impliquant une imagerie de diagnostic toutes les 12 semaines jusqu’à 2 ans après le début du traitement de l’étude.

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ARMO BioSciences MAJ Il y a 4 ans

Étude ARTIST 1 : étude de phase 3 randomisée visant à comparer l’efficacité de l’AM0010 associé au FOLFOX avec le FOLFOX seul comme traitement de deuxième ligne chez des patients ayant un cancer du pancréas métastatique qui a progressé pendant ou après un traitement de première ligne contenant de la gemcitabine. Le cancer du pancréas prend naissance dans les cellules du pancréas, le plus souvent dans les cellules du canal pancréatique, donnant lieu à l’adénocarcinome du pancréas, qui représente 95 % des cas de cancer du pancréas. Le traitement de première intention pour les patients avec un indice de performance de grade 2 (OMS) est la gemcitabine en monothérapie, mais pour les patients dont la maladie a progressé, le traitement de deuxième intention par du FOLFOX constitue une option de traitement raisonnable. L’AM0010 est une protéine recombinante dérivée de l’IL-10 qui a montré lors d’études précédentes la capacité de stimuler les cellules T CD8+ qui identifient et détruisent les cellules tumorales, ce qui s’est traduit par une amélioration du pronostic et de la survie des patients. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité de l’AM0010 associé au FOLFOX avec le FOLFOX seul comme traitement de deuxième ligne chez des patients ayant un cancer du pancréas métastatique qui a progressé pendant ou après un traitement de première ligne contenant de la gemcitabine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront de l’AM0010, 5 jours semaine pendant 2 semaines, associé au traitement FOLFOX comprenant la leucovorine, l’oxaliplatine et le 5-fluorouracile, tous les 14 jours jusqu’à la progression, intolérance au traitement ou jusqu’à 12 cures. Si après les 12 cures, les patients n’ont pas de progression, ils pourront recevoir des cures d’entretien avec l’AM0010. Les patients du deuxième groupe recevront le traitement FOLFOX seul jusqu’à la progression, intolérance au traitement ou jusqu’à 12 cures. Les patients seront suivis toutes les 8 semaines pendant 12 mois, puis toutes les 12 semaines.

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Étude NIPINEC : étude de phase 2 randomisée évaluant l’efficacité et la tolérance du nivolumab en monothérapie et celles du nivolumab en association avec de l’ipilimumab chez des patients ayant un carcinome neuroendocrine pulmonaire ou gastroentéropancréatique peu différencié de stade avancé et ayant précédemment reçu un traitement. Les cellules neuroendocrines sont dispersées dans tout le corps. On les trouve dans la plupart des organes du corps, y compris dans le tube digestif, le pancréas, la thyroïde et les poumons. Elles reçoivent des signaux du système nerveux et y répondent en fabriquant et en sécrétant des hormones. Ces hormones contrôlent de nombreuses fonctions de l’organisme, comme la digestion et la respiration. Ces cellules neuroendocrines subissent parfois des changements qui rendent leur mode de croissance ou leur comportement anormal. Ces changements peuvent entraîner la formation de tumeurs neuroendocrines. Certaines cellules cancéreuses évitent le système immunitaire en prenant le contrôle de ce que l’on appelle la voie PD-1. Cette voie PD-1 est une voie que les cellules saines utilisent pour indiquer au système immunitaire de ne pas les attaquer. Par ailleurs, le CTLA4 est un puissant inhibiteur des lymphocytes T. Le nivolumab se fixe à la protéine PD-1 et bloque cette voie, aidant ainsi le système immunitaire à reconnaître et à attaquer les cellules cancéreuses. L’ipilimumab bloque le CTLA4 et permet aux lymphocytes T4 de continuer à être actifs et de s’attaquer aux cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance du nivolumab seul et celles du nivolumab associé à de l’ipilimumab chez des patients ayant un carcinome neuroendocrine pulmonaire ou gastroentéropancréatique peu différencié de stade avancé et ayant précédemment reçu un traitement. Les patients seront répartis aléatoirement en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab une fois toutes les 2 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du nivolumab une fois toutes les 2 semaines et de l’ipilimumab une fois toutes 6 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus dans les 30 jours suivant la fin du traitement de l’étude pour un examen clinique, hématologique et biochimique, puis toutes les 12 semaines pour une évaluation radiologique pendant 2 ans en l’absence de progression de la maladie.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 4 ans

Etude H9H-MC-JBEG : étude de phase 1b (escalade de dose et cohorte d’expansion) visant à étudier la sécurité, la tolérance et l’efficacité d’un nouvel inhibiteur du facteur de croissance transformant-β (galunisertib), administré en association avec un anticorps anti-PD-L1 (durvalumab) chez des patients ayant un cancer du pancréas métastatique récurrent ou réfractaire. [essai clos aux inclusions] Le cancer du pancréas prend naissance dans les cellules du pancréas. La tumeur cancéreuse est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir et détruire le tissu voisin. Elle peut aussi se propager à d’autres parties du corps et former des métastases. Le traitement standard du cancer du pancréas au stade métastatique est une chimiothérapie et consiste à utiliser des médicaments anticancéreux qui vont détruire les cellules cancéreuses. De nouvelles stratégies thérapeutiques, telles que les thérapies ciblées, sont apparues ces dernières années. Elles consistent à bloquer de façon sélective la croissance des cellules cancéreuses et diriger les réactions du système immunitaire de l’organisme contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité de 2 thérapies ciblées : le galunisertib et le durvalumab chez des patients ayant un cancer pancréatique métastatique récurrent ou réfractaire au traitement. L’étude sera réalisée en 2 étapes. Lors de la première étape, les patients recevront du galunisertib et du durvalumab. La dose de traitement administrée sera progressivement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Lors de la deuxième étape, les patients recevront du galunisertib et du durvalumab à la dose la mieux adaptée. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions